Howard dévoile « DEAD », accompagné d’un clip délirant à l’esthétique VHS et réalisé par Jules Gondry (Julius).
Howard envoie un rock rempli d’orgue Hammond, de fuzz et d’éléments électroniques ayant traversé les décennies. Inspiré par des légendes comme Deep Purple et The Doors, ils réinventent le genre avec une énergie moderne.
Avec un premier EP auto-produit HOWARD I en 2018, ils enchaînent les dates, croisant notamment le fer avec Ayron Jones, Yarol Poupaud, Last train, Ko Ko Mo, Mars Red Sky, The Psychotic Monks, Slift ou encore Dätcha Mandala. Leur premier album « Obstacle » sort en 2020 à la veille du premier confinement.
Malgré le report de leur tournée, l’album fait bonne presse dans les médias spécialisés. Le groupe ne se laisse pas abattre pour autant et sort son 2e album « Event Horizon » en 2022 et feront une tournée d’une cinquantaine de dates en deux ans, dont une release party sold out au Backstage BTM à Paris.
En live, le groupe prend une toute autre dimension et scotche son audience avec un show travaillé plein de rebondissements. Howard s’affirme comme l’un des groupes émergents les plus prometteurs de la scène rock actuelle. Fin 2024, le trio continue son ascension avec une signature chez RAGE TOUR et l’annonce d’un nouvel album, « OSCILLATIONS », prévu pour le 28 mars 2025.
Après les cris d’alertes des deux singles précédents abordant les thématiques de la dépression et du burn-out, « DEAD » laisse entrevoir l’espoir au bout du tunnel. À la manière d’une créature de Frankenstein que l’électricité ramène à la vie, quand on ne veut plus avancer, c’est parfois les autres qui nous redonnent le goût d’aller plus loin.
Faire évoluer la perception qu’on a de nous-même à travers le regard de quelqu’un qui nous aime, c’est quelque chose qu’on souhaite à chacun de connaître. Doute, gratitude puis euphorie, le titre déroule sans s’arrêter pour reprendre son souffle depuis un rock flirtant avec la pop, dépasse des séquences aux limites de la tonalité pour se terminer dans un final au frontières du Doom.
Dans le clip, on y voit le rock d’HOWARD qui se mêle à lʼabsurde et aux bricolages électroniques :
« Nous voulions jouer sur un contraste entre une performance musicale authentique et des événements désopilants, avec une forte dimension psychédélique. Lʼidée centrale repose sur le chaos progressif : alors que le groupe tente de jouer son morceau, rien ne se passe comme prévu. Le matériel se dégrade, des incidents burlesques sʼenchaînent, et les membres du groupe réagissent avec des attitudes grotesques et surjouées en réparant leurs materiel tant bien que mal, se blessant au passage. Le tout est soutenu par une esthétique unique, amplifiée par lʼutilisation dʼune caméra VHS des années 2000 avec un style affirmé. » explique Julius, le réalisateur du clip.
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