
UN CHARME EST CE QUI SUBJUGUE, PLUTOT QUE CE QUI PLAIT. ALAIN.
…Il était une fois un homme, une voix, de la définition même du charme indéfinissable qui subjugue et transporte imparablement. La fêlure légendaire du célèbre irlandais ROBIN MCAULAY, qui fit gravir son nom à l’international avec le non moins extraordinaire MICHAEL SCHENKER (ex : SCORPIONS ET UFO), six-cordiste de génie qui rebaptisa spécialement son MSG en MCAULEY SCHENKER GROUP, nous gratifie d’une nouvelle oeuvre solo SOULBOUND absolument extraordinaire et envoûtante. Qui fait fi d’émotivités marquées sur un hard rock, plutôt un Heavy fm, dirions-nous, dont le cachet rappellera les plus grandes heure de gloires américaines passées des années phares du style, les 80’s (en tête STRYPER (« The Best Of Me »), WHITE LION (« Born To Die »), WHITESNAKE (« Crazy »).
Aucunement la réplique maladroite de ces étoiles de jadis et de toujours, ni d’ailleurs le clone de qui que soit, SOULBOUND laisse seulement apparaître ses influences au gré de compositions au fort potentiel addictif et émotionnel. Une manifestation très prégnante à la puissance vocale et musicale ensorcelante, certes cousue de fils blancs, mais habillée de riffs ciselés, de mélodies captivantes et de paroles introspectives.
En sommes, un SOULBOUND qui dispose de toute la panoplie stylistique et artistique qui ont fait de son chanteur d’expérience, à la déjà longue et prolifique carrière, une référence absolue de la planète Metal. Mais SOULBOUND, est aussi mené par des musiciens aguerris à l’exceptionnel et ainsi s’aventure avec ingéniosité et parcimonie sur de nouveaux horizons sonores plutôt flamboyants.
Clip vidéo de la chanson « ‘Til I Die » :
L’ouvrage lancé, l’émotion omniprésente craquèle de tout part les nombreux sillons noirs d’un magnifique vinyle classique (noir comme à la grande époque), où les premiers accords dévastateurs de « ‘Til I Die », nous transporte dans un volcan d’énergie brute, en osmose avec la pertinence des sentiments des histoires comptées au regard si profond. Subjuguées par la voix puissante et extrêmement serrée (les frissons proches de KLAUSE MEINE (SCORPIONS) et MIKE TRAMP (WHITE LION)), d’un ROBIN MCAULEY qui amplifie la grandiloquence d’une œuvre pourtant sans artifice aucun, mais assurément faussement simpliste et classique.
Lyric vidéo de la chanson « Soulbound » :
Chaque mouvement de note emporte sur l’indéfinissable, ce ressenti qui ne s’explique pas. Pourtant, la technique est très pointue et présente mais toujours « sous-jacente » pour parfaire l’équilibre fragile entre les notes âpres et les mélodies qui déstabilisent, pour rester très longtemps sur le cœur. L’excitation et les frémissements de nature permanente courent sur un exceptionnel SOULBOUND et s’offre au morceau éponyme (« Soulbound »), par des riffs acérés et des harmonies vocales vaporeuses, avec toujours le goût pour la justesse. Quelle soit instrumentale, musicale ou bien dans la production absolument parfaite de ALDO LONOBILE (chaque instrument se distingue à merveille).
Tous les morceaux font preuves d’excellence, certains mêmes ont l’allure de futurs classiques, comme « Crazy » qui se détache par son introspection émotive, alors que « The Best Of Me » accélère le rythme furieusement, ses pas à la cadence entraînante et sont refrain très accrocheur, ne sont que purs régales.
Et que dire d’un « Born To Die » aussi enlevé qu’extrêmement touchant, où la voix de ROBIN MCAULEY se veut paré d’un voile de pudeur à la sensibilité affirmée. Une « ballade mid-tempo » aux paroles poignantes et au refrain mémorable accrochant quelques accentuations roots.
Quant à « Let It Go » il est le tube imparable (ce refrain où se casse la voix de ROBIN MACAULAY, est irrésistible) bien emmené par des guitares déchaînées, créatrices de sons débordants d’énergie. A ce titre les guitaristes ANDREA SEVESO et ALESSANDRO MAMMOLA distillent des soli pétillants et des riffs sophistiqués, épaulés par la basse vrombissante, galopante (« Bloody Bruised and Beautiful ») et les guitares additionnelles d’ALDO LONOBILE. La batterie frénétique d’ALFONSO MOCERINO et les esquisses subtiles de clavier d’ANTONIO AGATE apportent un socle plus groovy et profond au contenu global de l’oeuvre.
Oui parlons d’oeuvre, qui plus est incontournable car elle définit cette femme que l’on croise et dont l’outrancière attirance est immédiate et sans explication aucune, sauf de celle d’un charme fou qui ne se touche pas et vous happe et vous transperce le ventre.
En sommes, un véritable coup de foudre !
Visualizer de la chanson « Wonders Of The World » :
LINE-UP :
ROBIN MCAULEY – Chant

ANDREA SEVESO – Guitare

ALESSANDRO MAMMOLA – Guitares

ALDO LONOBILE – Basse/Guitare additionnelle

ALFONSO MOCERINO – Batterie

ANTONIO AGATE – Claviers additionnels

TRACKLIST : (43m)
1. Till I Die
2. Soulbound
3. The Best of Me
4. Crazy
5. Let It Go
6. Wonders of the World
7. One Good Reason
8. Bloody Bruised and Beautiful
9. Paradise
10. Born To Die
11. There Was A Man
12. Crazy (Alternative Mix) Bonus Track Japan
DISCOGRAPHIE :
ALBUMS SOLOS :
Business as Usual (1999)

Standing on the Edge (2021)

Alive (2023)

SOULBOUND (2025)

AVEC MCAULEY SCHENKER GROUP :
Perfect Timing (1987)
Save Yourself (1989)
M.S.G. (1991)
AVEC MICHAEL SCHENKER FEST :
Resurrection (2018)
Revelation (2019)
AVEC BLACK SWAN :
Shake the World (2020)
Generation Mind (2022)
PRODUCTION :
Enregistré, mixé, et masterisé par ALDO LONOBILE.

ARTWORK :

SORTIE/LABEL :
Le chanteur ROBIN MCAULEY (BLACK SWAN, MICHAEL SCHENKER FEST) à sorti son nouvel album solo, intitulé SOULBOUND, le 28 février 2025 via FRONTIERS MUSIC SRL.

LIEN FACEBOOK DE L’ARTISTE :
https://www.facebook.com/RobinMcAuleyRock/
CHRONIQUE DE LA NOUVELLE OEUVRE SOLO DE MARKO HIETALA ROSES FROM THE DEEP :
https://loudtv.net/marko-hietala-le-don-de-soi-dans-les-profondeurs-de-lame/






